Le Noël d'un vagabond est un film français muet de court métrage écrit et réalisé par Ferdinand Zecca et René Leprince, sorti en 1915.
Synopsis
Bonace est un brave vagabond dont l'honnêteté est bien mal récompensée. Ainsi quand il ramène un porte-monnaie perdu à la gendarmerie se voit-il emprisonné pour n'avoir... pas d'argent sur lui ! Plus tard, libéré de prison avec en poche 4 francs 50 centimes gagnés dans l'atelier, il se sert de cette somme pour acheter un jouet pour la fille de son bienfaiteur du moment. Et sur le chemin du retour, qui croise--t-il ? Deux pandores, bien sûr ! Et comme il n'a plus d’argent sur lui, c'est le retour à la case prison. La loi c'est la loi mais elle est bien dure.
, 2minutes Directed byFerdinand Zecca OriginFrance GenresComedy ThemesFilms about sexuality, Erotic films Rating58% Le valet de chambre d'un hôtel jette un coup d'œil indiscret par les serrures de ses clients. Dans la première chambre, il épie une jolie jeune femme en déshabillé, qui peigne son abondante chevelure. Retour sur le palier, le valet signifie par des gestes adressés au public (la caméra) que la jeune femme est « bien roulée » (voir regard caméra). Dans la deuxième chambre, il remarque une femme qui se démaquille, enlève sa perruque et se révèle être un travesti. Retour sur le palier, le valet prend un air dégoûté. Dans la troisième chambre, il voit un couple, dont la femme, légèrement vêtue, est assise sur les genoux de son amant, une bouteille de champagne trône sur le guéridon. Retour sur le palier, le valet secoue la main en signe de connivence, une belle nuit d'amour se prépare. Le valet se dirige vers une autre porte, mais l'occupant, un monsieur furieux, en sort à cet instant et entreprend de boxer le valet indélicat.
Valeria Messalina, la femme de l'empereur romain Claude, est connue pour son dévergondage. Lorsque attaquée par la foule, le philosophe Manus la sauve, mais elle s'en éprend, tandis qu'il aime Thysla, insistant pour qu'il devienne son amant. Refusant, il est amené de force au palais. Entre-temps, deux tribuns, Narcissus et Vitellius, se plaignent à l'empereur du comportement de sa femme, laquelle est condamnée tandis que Manus est libéré.