Memories of Berlin: The Twilight of Weimar Culture is a documentary film produced and directed by Gary Conklin, and released in 1976.
The film tells the cultural story of Berlin during the Weimar Republic through interviews with a number of persons who were involved in literature, film, art, and music during the period. It includes interviews with Christopher Isherwood, Louise Brooks, Lotte Eisner, Elisabeth Bergner, Francis Lederer, Carl Zuckmayer, Gregor Piatigorsky, Claudio Arrau, Rudolf Kolisch, Mischa Spoliansky, Herbert Bayer, Mrs. Walter Gropius, and Arthur Koestler.
Suggestions of similar film to Memories of Berlin: The Twilight of Weimar Culture
There are 38 films with the same actors, 1 films with the same director, 8953 with the same cinematographic genres, 1876 films with the same themes (including 57 films with the same 2 themes than Memories of Berlin: The Twilight of Weimar Culture), to have finally 70 suggestions of similar films.
If you liked Memories of Berlin: The Twilight of Weimar Culture, you will probably like those similar films :
, 1h33 OriginUSA GenresDocumentary ThemesDocumentary films about historical events, Documentary films about cities, Disaster films Rating72% Trouble the Water opens the day the filmmakers meet 24-year-old aspiring rap artist Kimberly Rivers Roberts and her husband Scott at a Red Cross shelter in central Louisiana, then flashes back two weeks, with Kimberly turning her new video camera on herself and her neighbors trapped in their Ninth Ward attic as the storm rages, the levees fail and the flood waters rise.
, 1minutes OriginUSA GenresDocumentary ThemesDocumentary films about historical events, Documentary films about cities Rating66% Le premier jour, le cinéaste prend à cadence normale quelques secondes du va-et-vient habituel de la circulation, les calèches, les chariots, et la foule des piétons. Puis, pendant les quelques semaines que dure l'opération de démolition du Star Theater, à New York, la caméra reste au même endroit, bien calée, filmant à travers la fenêtre d’un immeuble placé juste en face. Par des démarrages et des arrêts de caméra successifs, le cinéaste prend quelques vues à chaque demi-heure de la journée (il exclut le soir, la nuit et le petit matin, dont les lumières ne sont pas assez actiniques pour obtenir une image correctement exposée). À la projection, la démolition s’effectue ainsi en 1 min 30 s, les matériaux sont pris d’une sorte de folie autodestructrice, les ombres tournoient, les piétons s’activent comme des insectes, le store d’une boutique proche s’ouvre et se ferme à un rythme infernal, les étages du Star Théâtre disparaissent l'un après l'autre. « Quand seuls subsistent des monceaux de pierres que des fardiers débarrassent, le calme revient, un autre morceau du film à vitesse normale montre les piétons, indifférents aux ruines, qui vaquent à leurs occupations. » C’était à ce moment que derrière son public, l’opérateur respectait l’annonce du titre : "démolition et reconstruction", et il rembobinait le film à l’aide de l’appareil de projection sans éteindre la lanterne. Le Star Théâtre renaissait alors de ses ruines et se dressait de nouveau par la magie de la marche arrière.