In 1942, in Paris, which is seized by Germany, a grocer Edmond Batignole (Gérard Jugnot) is living with his family in his grocery building. He has a daughter who is soon to be married. His future son-in-law, Pierre-Jean (Jean-Paul Rouve) and his wife wanted the apartment owned by a Jewish family. When the properties of all the Jews was confiscated the Batignole family got the apartment. The Jewish family was sent to transportation to Germany. After the Batignoles had occupied the apartment the Batignoles organise a party for the SS officials and during that party young Simon Bernstein (Jules Sitruk) of the Jewish family who had escaped from the Germans, returns to his home. Edmond Batignole feels sorry for the boy and hides him in the apartment from his family before anyone else could see him. Soon Simon's cousins meet him in the cellar of the grocery and the grocer plans to smuggle the children over the border to Switzerland.
Le film retrace quelques jours de la vie du sous-lieutenant Roque, pendant la Guerre d'Algérie. Il a sous ses ordres 400 soldats français dont quatre jeunes musulmans qui se sont engagés et qui sont très utiles au reste du poste (qui se situe dans le Sud-Est algérien) en ce qui concerne les traductions de l'arabe au français.
En 1943, sœur Luce (Céline Sallette) est une religieuse dévote, servant comme infirmière dans un hôpital de Périgueux (Dordogne). Sa vie est ébranlée quand elle tombe amoureuse de Martial (Éric Caravaca), un résistant, ancien aumônier devenu athée. Cependant Martial trahit ses sentiments. Désespérée, Luce dénonce son groupe à la Kommandantur.
À Alger, durant la guerre d'Algérie un des responsables du FLN est arrêté par l'armée qui emploie les méthodes les plus violentes pour faire parler les prisonniers. Le recours à la torture pose un cas de conscience à un officier français. Jouant sur le champ-contre-champ, entre le torturé et son tortionnaire, dans un huis clos étouffant.
Boufarik, Algérie, en 1960. Salah et Boualem, deux garçons de vingt ans qui portent chemises à la mode et lunettes noires, s'intéressent plus au twist qu'au travail et à la guerre d'indépendance. Lorsque la guerre se termine, Boualem sait choisir le « bon côté », celui des profiteurs...
À hauteur d'homme est inspiré de la vie du docteur Louis Seutin, médecin et chirurgien belge du XIX siècle qui s'initia à son art au milieu des combats des guerres du Premier Empire français. Rentré en Belgique, il se consacra au progrès de la médecine, notamment dans la réorganisation des hôpitaux et dans les domaines de la lutte contre la fièvre puerpérale, du développement de la chirurgie osseuse et de la guérison des fractures. Sa méthode amovo-inamovible de réduction des fractures échappe aux défauts des méthodes qui l'ont précédée en conjuguant les avantages des méthodes légères et des méthodes lourdes sans leurs inconvénients.
Le documentaire a pour sujet la libération de la France durant l'été 1944 au travers des figures historiques : De Gaulle, Roosevelt, Pétain et des mouvements de résistance, armées engagées dans le conflit.
France, 1993. The retired Colonel Raoul Duplan is shot in his home. As the police is baffled, the young army officer Galois leads the investigation. Shortly thereafter, she receives a letter containing some diary pages of a lieutenant who served since 1955 in the Algerian war under the command Duplan and disappeared in 1957 under mysterious circumstances.
Marc, la quarantaine, marié, père de famille, vit à Aix-en-Provence, près de la Méditerranée. Agent immobilier dans l'agence de son beau-père, il mène une vie tranquille. Alors qu'il fait visiter une maison à vendre, il croise une femme qui veut acheter cette maison pour le compte d’un marchand de bien et dont le visage lui semble familier. Le soir, il pense qu'il s'agit de Cathy, son amour d'enfance, quittée à douze ans lorsque sa famille dut fuir Oran, dans les années 1960, en pleine guerre d'Algérie. Troublé par cette rencontre il se remémore son amour d’enfance et retombe follement amoureux d’elle, oubliant sa femme et sa fille. Il la revoit et a une relation sexuelle avec mais elle le quitte au matin sans lui donner ses coordonnées en lui disant simplement qu’ils se reverront le jour de la signature du compromis de vente chez le notaire. Ils se revoient ce jour là mais après elle disparait de nouveau bien que lui ayant promis de le revoir à son hotel. Marc est troublé et se rend compte qu’il y a des choses étranges car sa mère et sa soeur lui apprennent que Cathy est morte avec son père dans un attentat peu aprés son propre départ précipité vers la France avec ses parents. Il mène son enquête partagé ente espoir et doute car il s’est de nouveau follement épris de celle qu’il croit être Cathy. Au fil de ses découvertes il découvre que « Cathy » est mêlée plus ou moins malgré elle a une opération immobilière frauduleuse montée par un des collègues de Marc et qu’en fait la dite Cathy est en réalité sa meilleure amie Marie-Jeanne (amoureuse de Marc lorsqu’ils étaient tous ensemble) que Marc avait cotoyé mais ignoré car à l’époque il n’avait d’yeux que pour Cathy. Cathy qui est bien morte en Algérie comme sa mère et sa soeur le savaient mais ne lui en avaient rien dit à l’époque car sachant son amour pour Cathy et son désespoir d’avoir du quitter l’Algérie et son amour d’enfance. Quelques mois plus tard alors que Marc est séparé de sa femme et vit seul il revoit Marie-Jeanne (la fausse Cathy) qui lui avoue avoir toujours été amoureuse de lui et a souffert en silence dans l’ombre, elle n’a jamais dit être Cathy mais éprouvant encore de l’amour pour lui elle n’a pas eu le courage de le détromper. Ils se revoient quelque temps plus tard et Marc lui dit qu’il va revenir sur les lieux de son enfance mais elle avoue ne pas en avoir le courage. Le film se termine à Oran où on voit Marc en pleurs qui revient sur la terrasse où il a passé de tendres moments avec Cathy. On ne sait pas comment se poursuivrait la relation entre Marie-Jeanne et Marc mais ils semblent néanmoins très proches lors de leur dernière entrevue avant le depart de Marc pour l'Algérie donc on peut supposer une suite positive a leur relation.
Ce film documentaire est sorti à l’occasion du cinquantenaire des événements survenus au moment et après la manifestation pacifique des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris durant la guerre d'Algérie, organisée par la Fédération de France du FLN en réaction à un couvre-feu institué par le préfet de police Maurice Papon pour les seuls Algériens favorables à l'indépendance de leur pays. La manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre dont le nombre de victimes est estimé entre 80 et 200 morts. Les cadavres seront, pour certains, retrouvés flottant dans la Seine.
Dans le nord de la France, au cours de l'été 1943, un groupe de francs-tireurs et partisans d'origine polonaise lutte avec efficacité contre l'occupant nazi et ses agents de la collaboration. Les femmes jouent un rôle important dans cette action.
En juin 1942, Jérôme et Alice passent la ligne de démarcation et arrivent à l'improviste chez un vieil ami de Jérôme, Charles. Celui-ci, fabriquant de chaussures et neveu d'un chef de cabinet de Vichy, souhaite rester à l'écart du conflit (ni résistant, ni collabo).
Nous sommes en 1787 ; parce qu'il a tué en duel un ami du roi Louis XVI, Jean-François de la Plaine est exilé à Cap Saint-Louis, un minuscule comptoir africain dont il est nommé gouverneur. Plutôt libre-penseur, il se résigne à son sort, essayant d'adoucir sa solitude au moyen de son épinette (instrument de musique de la famille des clavecins). Très loin, en France, éclate la Révolution, tandis qu'il découvre les multiples facettes de l'Afrique et de l'esclavage, l'amour de la jeune Amélie (une jeune esclave peul qui lui a été offerte) et la richesse de la différence.