En Août 2000, le plus sophistiqué des sous-marins nucléaires russes, le Koursk, coule avec ses 118 membres d'équipage dans la mer de Barents. Proposée par les britanniques, la thèse de l'explosion accidentelle d'une ancienne torpille deviendra très vite la version officielle. Elle sera reprise par la plupart des médias russes et internationaux alors que les véritables raisons de ce naufrage n'ont jamais été élucidées. Quatre années plus tard, à la suite d'une longue investigation, ce film met en lumière des faits troublants, totalement occultés par le pouvoir, qui ont permis au réalisateur Jean-Michel Carré d'élaborer une hypothèse plus plausible qui implique les Etats-Unis dans cet événement et met en perspective les nouveaux enjeux stratégiques entre la Russie, les Etats-Unis et la Chine.
À l’issue de Sharknado 5: Global Swarming (2017), la tornade de requins avait dévasté la Terre et saccagé le patrimoine de l'humanité, de la Muraille de Chine aux Pyramides d'Égypte. Humanité dont il ne restait d’ailleurs plus grand monde. Fin Shepard (Ian Ziering), se retrouvait seul, errant dans un décor de fin du monde.
La famille Prantner semble souffrir de malchance. Le chef de famille Friedrich se débat dans son nouveau studio d'enregistrement à la table de mixage avec son programme. Ses clients semblent des voyous. L’épouse Nina confectionne une robe pour une Kammersängerin dans un salon de mode, mais elle éclate à cause d’une grave erreur devant la caméra lors de son apparition au gala. En raison de son désespoir, elle détruit également le studio d'enregistrement de Friedrich avec juste "la pression d'un bouton". Les deux sont maintenant sans travail.