, 23minutes Directed byGeorges Rouquier OriginFrance GenresDocumentary Rating66% Lunel, dans l’Hérault, M. Valentin est tonnelier. La caméra attentive et lyrique de Georges Rouquier s’attache à comprendre et à décrire un métier, aujourd’hui oublié, jusque dans ses moindres détails. Des graphiques animés ont même été insérés pour rendre le propos plus clair. Hommage à l’intelligence humaine et aux mains de l’artisan, ce film est aussi une leçon de cinéma documentaire avec sa science des cadrages, son utilisation des gros plans, son rythme musical, sa beauté des images.
, 1h30 Directed byGeorges Rouquier OriginFrance GenresDocumentary ThemesFilms about the labor movement, Documentaire sur le monde paysan, Documentaire sur le monde du travail ActorsGeorges Rouquier Rating72% À Farrebique, près de Goutrens, dans l'Aveyron (Midi-Pyrénées, Massif Central), la vie d'une famille de paysans, les Rouquier, est filmée au rythme des quatre saisons ponctuant leurs activités et leur relations. Faut-il agrandir la ferme pour le prochain printemps, installer l'électricité ? Le nom de la ferme semble dériver du verbe ferrar, variante farrar = ferrer, plutôt au présent de l'indicatif qu'à l'impératif, et du mot bica = bique, chèvre, bien que ce nom soit moins répandu en occitan que son homologue français. Les chèvres ne se ferrant pas, ce serait une formation facétieuse. Certains ont pensé que ce nom signifiait « la ferme des chèvres », sans argument linguistique suffisant.
, 1h30 Directed byGeorges Rouquier OriginFrance GenresDrama, Documentary ThemesFilms about the labor movement, Documentaire sur le monde paysan, Documentaire sur le monde du travail Rating65% Rouquier retourne, 38 ans après, sur les lieux du tournage de Farrebique, près de Goutrens, dans l'Aveyron (Midi Pyrénées, Massif central), continuant la saga de sa propre famille. Ici c'est le monde qui a changé, les cuisines sont maintenant habillées de formica, l'agriculture est en passe de devenir une industrie mais les personnages sont toujours aussi vrais.
Dans ce film, Georges Rouquier décrit l'activité du maréchal-ferrant dans la multiplicité de ses aspects. Mais le cinéaste ne limite pas son propos à une pure description technique, il n'oublie pas l'homme ni son environnement familial et villageois, ni l'histoire où s'est inscrite à un moment donné sa vie. Le réalisateur filme Marcel Laforge, maréchal-ferrant installé dans un petit village des Charentes, Garrat.
Une interview du compositeur Arthur Honegger : peu de temps avant sa mort, il évoque sa jeunesse, ses années de formation, ses rencontres (avec Darius Milhaud et Jacques Ibert), l'avant-garde, ses collaborations et sa vision de l'art.
Pierre (Jacques Marin) est couvreur et vit avec sa femme et sa petite fille dans un petit appartement à Maisons-Laffitte. Le couple a des projets, a acheté à crédit des meubles et un terrain en banlieue parisienne pour y construire « leur maison. »
"L'homme travaille pour gagner sa vie, il ne travaille pas pour la perdre." Cette phrase, prononcée dans ce film de Georges Rouquier, en est le maître mot. Il aborde la question de la sécurité au travail, en mettant en scène les ouvriers d'une petite usine et leur délégué à la sécurité. Il montre que les ouvriers négligent leur sécurité en ne portant pas toujours leurs protections, mais également que le matériel de l'usine n'est pas assez sécurisé. Un accident de travail permet à chacun d'ouvrir les yeux, de comprendre les enjeux de la sécurité au travail.