The Color of Gold est un film documentaire sud-africain réalisé par Don Edkins en 1992. Il évoque la vie des mineurs basotho qui quittent le Lesotho pour aller travailler dans les mines d'Afrique du Sud, placés dans des conditions de vie difficiles et coupés de leurs familles. Deux ans plus tôt, le même réalisateur avait consacré un documentaire, Goldwidows: Women in Lesotho, au quotidien des épouses de ces mineurs restées au Lesotho.
Synopsis
Le documentaire suit le parcours et les conditions de vie des hommes du peuple basotho originaires du Lesotho qui quittent leur pays pour aller travailler dans les mines d'Afrique du Sud, pendant une période où l'apartheid interdità leurs familles de les suivre dans ce pays. Parfois fiers d'aller travailler dans les mines, les mineurs déchantent rapidement en découvrant les conditions de vie extrêmes qu'ils doivent affronter. Ils restent absents plusieurs années et vivent coupés de leurs familles, auxquelles ils envoient de l'argent. Le film aborde divers aspects de leur vie, les conditions de travail, la vie en milieu non mixte, les prostituées, le sida, la drogue, le mal du pays et parfois les autres familles que ces mineurs sont amenés à fonder en Afrique du Sud.
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, 48minutes Directed byJean Epstein OriginFrance GenresDocumentary ThemesFilms about the labor movement, Documentaire sur le monde du travail Rating58% Du haut de leur échafaudage, deux ouvriers du bâtiment dissertent sur l'histoire des travailleurs du bâtiment à travers les âges, de l'époque des cathédrales à la fin du XIX siècle, avant de conclure : « Nous voilà arrivés au XX siècle, sans avoir rien bâti pour nous. »
, 43minutes Directed byChris Marker OriginFrance GenresDocumentary ThemesFilms about the labor movement, Documentary films about politics, Documentaire sur le monde du travail, Political films Rating68% Le film relate la grève dans l'usine de textiles Rhodiacéta de Besançon, en mars 1967, au travers des témoignages des ouvriers sur leurs conditions de travail et motivations. Cette grève a pris un aspect particulier de par l'assimilation du plan culturel du plan social : les revendications ne tournent plus seulement autour de l'entreprise (salaires ou sécurité de l’emploi), mais aussi sur le mode de vie que la société imposait notamment à la classe ouvrière. Les ouvriers grévistes qui occupent l'usine ont à leur disposition du matériel pour filmer les événements, grâce à Chris Marker, Jean-Luc Godard ainsi que Bruno Muel. Comme le Mai rampant italien, cette grève est une sorte d'avant-coureur de la vague de fond de mai 68.
, 1h5 OriginFrance GenresDocumentary ThemesEnvironmental films, La mondialisation, Films about the labor movement, Documentary films about business, Documentary films about environmental issues, Documentary films about technology, Documentaire sur le monde du travail, Disaster films Rating75% Using interviews and overlays of graphics and text, the film presents the current problems facing industrial agriculture. It explores why in the interviewees' view the current industrial model is not up to the task of feeding the world's people. According to the film every calorie of energy contained in a food source currently takes between 10 and 20 calories of crude oil in the production of fertilizers and transportation to produce, leading to a strong dependence of the cost of food on oil prices. As a result of peak oil and increasing oil prices this dependence will lead to ever increasing food prices. According to the film, this dependence already represents a significant weak-spot in the global food supply chain. Additionally, agriculture is already responsible for 40% of greenhouse gas emissions, contributing to climate change. Furthermore, the film argues that the overuse of inorganic fertilizers has been responsible for the loss of soil fertility and threatens the complete loss of usable soil within the next decades through soil erosion and sinking crop yields. These effects, according to the film, can only be partly mitigated by the increased use of those same fertilizers. The loss of workplaces, the concentration of land in the hands of a few (allegedly a farm closes every 23 minutes in France) as well as the dependence on large corporations are enumerated as side effects of the industrialisation of agriculture since the 1920s. Companies, such as Monsanto and Bayer, control everything from seed stock to fertilizers and the necessary chemical mixes for hybrid plants, thereby controlling the entire supply chain. The film argues that this development was supported through subsidies from the World Bank. Interviews with Vandana Shiva, the founder of the Transition Towns movement Rob Hopkins and various agricultural experts serve to argue this viewpoint. The dependence on crude oil is illustrated through the example of the wholesale food market in Rungis.
Le 22 juin 2001, les 123 salariés de la filature Delebart-Mallet du groupe Mossley à Hellemmes près de Lille apprennent brutalement la liquidation de leur entreprise. C'est le début d'une longue lutte avec pour enjeu l'obtention d'un plan social digne de ce nom. D'août 2001 jusqu'à mars 2002, le documentaire suit les différents moments de ce conflit.
, 1h30 Directed byGeorges Rouquier OriginFrance GenresDocumentary ThemesFilms about the labor movement, Documentaire sur le monde paysan, Documentaire sur le monde du travail ActorsGeorges Rouquier Rating72% À Farrebique, près de Goutrens, dans l'Aveyron (Midi-Pyrénées, Massif Central), la vie d'une famille de paysans, les Rouquier, est filmée au rythme des quatre saisons ponctuant leurs activités et leur relations. Faut-il agrandir la ferme pour le prochain printemps, installer l'électricité ? Le nom de la ferme semble dériver du verbe ferrar, variante farrar = ferrer, plutôt au présent de l'indicatif qu'à l'impératif, et du mot bica = bique, chèvre, bien que ce nom soit moins répandu en occitan que son homologue français. Les chèvres ne se ferrant pas, ce serait une formation facétieuse. Certains ont pensé que ce nom signifiait « la ferme des chèvres », sans argument linguistique suffisant.