Un jeune homme, interprété par Gratien Zossou, néglige les offrandes rituelles aux divinités du vaudou et déclenche leur colère. Sa famille en subit les conséquences : maison brûlée, récoltes détruites. Il part en ville pour essayer de les aider, mais se trouve pris dans l'engrenage de la drogue. Cependant il fait la connaissance d'une jeune fille qui l'encourage à rentrer au village. Ils se marient dans la tradition vaudou et la malédiction est conjurée.
L'histoire se déroule dans le village imaginaire de Yatin qui vit sous l'emprise des forces traditionnelles et de leurs puissances maléfiques. La population, sous le joug du roi, des prêtres vaudou et des sorciers, voit son épanouissement rendu difficile.
Entre tradition et modernité, le réalisateur propose une visite guidée de son pays, alors la République du Dahomey, qui ne deviendra le Bénin actuel qu'en 1975.
Le Président de la République d’un pays africain imaginaire, qui souffre de voir les richesses naturelles de son pays uniquement exploitées par des entreprises occidentales, décide de nationaliser tous les moyens de productions installés sur son territoire par des étrangers : puits de pétrole, mines d’or, de diamants.
Between 1946 and 1954, more than 60,000 African soldiers were sent to the Far East to fight against the Viet Minh. Many unions between Vietnamese women and African soldiers took place, and children were born, Some stayed with their mothers, but others were taken back to Africa. Through the story of Christophe, a 58-year-old Afro-Asian, Idrissou Mora-Kpai not only tells the story of these children of mixed heritage, but also the unnatural fight in which colonized Africans stood against the Vietnamese who were fighting for their independence.
Née des mines d'uranium et de l’immigration, Arlit est une ville du Niger à la frontière du désert. Ancien Eldorado et plaque tournante de la région dans les années 1970 en raison de l’exploitation de l’uranium par la COGEMA (actuellement AREVA), Arlit incarnait l’aventure et la réussite. Mais la chute du prix de l’uranium et la rébellion touareg au début des années 1980 en ont fait une ville fantôme. Leur espoir d’une détente économique déçu, les habitants d’Arlit prennent par ailleurs conscience des dégâts humains, sanitaires et environnementaux provoqués par l’exploitation du minerai radioactif.
Dans divers pays africains, et particulièrement au Bénin, des centaines de femmes, de toutes les classes sociales, exhibent leurs corps avec fierté et élégance. Elles pèsent entre 80 et 110 kg et se moquent des critères de beauté conventionnels. On les appelle les « Filles Benz ». Elles ont servi de modèle et d’inspiration à une nouvelle génération de femmes africaines. L’élection de Miss Benz, filmée à Cotonou en 2004, fut l’occasion pour donner la parole à ces femmes, de montrer leurs inquiétudes, leur vie familiale et professionnelle.