Le film est divisé en trois histoires qui prennent des tournures documentaires. La première parle de deux petites filles de neuf ans qui déclarent à la police qu'elles ont vu un exhibitonniste, alors qu'elles n'en ont jamais vu. La deuxième raconte la rencontre de trois réalisateurs avec les derniers habitants d'un village déserté. La dernière histoire part de la découverte des cadavres de femmes de ménage violées et étranglées dans une petite ville.
L'histoire se passe en République de Macédoine, dans une ville, Titov Veles, qui se meurt. Seule une usine de plomb persiste, mais empoisonne les habitants. Trois sœurs : Aphrodita la cadette, qui ne parle plus depuis la mort de son père et vit dans son propre monde, Sapho, qui fuit la réalité en cherchant du sexe facile et qui s'enfuit en Grèce et Slavica, l'ainée, toxicomane.
The film takes place in Veles during the Republic of Macedonia's post-independence years. It tells the story of 13-year-old Marko Trifunovski (Marko Kovacevic), a talented but abused Macedonian schoolboy whose harsh circumstances gradually transform him into a criminal. Two mentors offer Marko hopes of a better future, but they eventually fail him, leading to his catastrophic change. The illusory nature of these hopes is foreshadowed by the film's epigraph, an aphorism from Friedrich Nietzsche's Human, All Too Human: "Hope is the worst of evils, for it prolongs the torments of man."
Le film raconte l'histoire de deux frères, Dragoslav et Kosta Kovacevski. Dragoslav revient d'URSS et, accusé à tort, il est emprisonné. Kosta, qui n'est intéressé que par l'argent, tente de quitter la Macédoine pour l'Occident. Dragoslav a une petite amie, Vera, mais lorsque celui-ci apprend qu'elle est une espionne soviétique, elle se suicide.