James L. Brooks is a Actor, Director, Scriptwriter, Producer and Thanks American born on 9 may 1940 at Brooklyn (USA)
James L. Brooks
If you like this person, let us know!
Birth name James Lawrence BrooksNationality USABirth 9 may 1940 (84 years) at Brooklyn (
USA)
Awards Primetime Emmy Award, Academy Award for Best Director, Writers Guild of America Award
James Lawrence "Jim" Brooks (born May 9, 1940) is an American director, producer and screenwriter. Growing up in North Bergen, New Jersey, Brooks endured a fractured family life and passed the time by reading and writing. After dropping out of New York University, he got a job as an usher at CBS, going on to write for the CBS News broadcasts. He moved to Los Angeles in 1965 to work on David L. Wolper's documentaries. After being laid off he met producer Allan Burns who secured him a job as a writer on the series My Mother the Car.
Brooks wrote for several shows before being hired as a story editor on My Friend Tony and later created the series Room 222. Grant Tinker hired Brooks and Burns at MTM Productions to create The Mary Tyler Moore Show in 1970. The show, one of the first to feature an independent working woman as its lead character, was critically acclaimed and won Brooks several Primetime Emmy Awards. Brooks and Burns then created two successful spin-offs from Mary Tyler Moore in the shape of Rhoda (a comedy) and Lou Grant (a drama). Brooks left MTM Productions in 1978 to co-create the sitcom Taxi which, despite winning multiple Emmys, suffered from low ratings and was canceled twice.
Brooks moved into feature film work when he wrote and co-produced the 1979 film Starting Over. His next project was the critically acclaimed film Terms of Endearment, which he produced, directed and wrote, winning an Academy Award for all three positions. Basing his next film, Broadcast News, on his journalistic experiences the film earned him a further two Academy Award nominations. Although his 1994 work I'll Do Anything was hampered by negative press attention due to the cutting of all of its recorded musical numbers, As Good as It Gets (co-written with Mark Andrus) earned further praise. It was seven years until his next film, 2004's Spanglish. His sixth film, How Do You Know, was released in 2010. Brooks also produced and mentored Cameron Crowe on Say Anything... (1989) and Wes Anderson and Owen Wilson on Bottle Rocket (1996).
In 1984, Brooks founded the television and film company, Gracie Films. Although he did not intend to do so, Brooks returned to television in 1987 as the producer of The Tracey Ullman Show. He hired cartoonist Matt Groening to create a series of shorts for the show, which eventually led to The Simpsons in 1989. The Simpsons won numerous awards and is still running. Brooks also co-produced and co-wrote the 2007 film adaptation of the show, The Simpsons Movie. In total, Brooks has received 47 Emmy nominations, winning 20 of them. Biography
Carrière
James L. Brooks commence à travailler pour la télévision dans les années 1970, notamment sur la série My Friend Tony. Il rejoint l'industrie du cinéma au début des années 1980 en produisant la comédie d'Alan J. Pakula Merci d'avoir été ma femme.
Son premier long-métrage, Tendres Passions, qui évoque la relation difficile entre une mère et sa fille atteinte d'un cancer, connaît un large succès et se voit récompensé par cinq Oscars en 1984 : Meilleur film, Meilleur réalisateur, Meilleure adaptation, Meilleure actrice pour Shirley MacLaine et Meilleur second rôle masculin pour Jack Nicholson.
Brooks permet ensuite à Nicholson de recevoir son troisième Oscar et son second trophée comme Meilleur acteur, 22 ans après Vol au-dessus d'un nid de coucou puis à Helen Hunt de gagner, pour la première fois, l'Oscar de la meilleure actrice en 1998 grâce à la comédie sentimentale Pour le pire et pour le meilleur.
Brooks produit également, depuis ses débuts, la série animée Les Simpson, créée par Matt Groening.
Style et esthétique
Brooks apparaît comme une personnalité atypique parce qu'il travaille aussi bien à la télévision qu'au cinéma (comme réalisateur, producteur ou scénariste) et qu'il n'a réalisé, sur trente ans, que six longs-métrages.
Décrit par Télérama comme « un orfèvre lent, qui cisèle ses scripts, doit sans cesse chasser le doute », James L. Brooks se distingue par la minutie avec laquelle il travaille. La critique et cinéaste Axelle Ropert voit en lui « un cinéaste raffiné (…), ce qui ne fait pas de lui le cinéaste de chevet de l’intelligentsia, mais plutôt un parrain secret du divertissement américain (Apatow le vénère), un peu comme McCarey et Rohmer inspirent du respect à tous : on a le droit de ne pas adorer leurs films, mais leur art déploie une forme mystérieuse et incontestable d’intégrité ». Au cinéma, le style de James L. Brooks vise une forme délicate de romanesque et néglige souvent les effets ostentatoires de mise en scène. Comme l'écrit Isabelle Regnier, « le génie de ses films tient notamment à la manière, unique et, dont il parvient, à l'intérieur d'un cadre mainstream, à donner une intensité bouleversante à la moindre nuance émotionnelle de ses personnages, à capturer une vérité humaine profonde tout en exploitant sans retenue les ressorts de la comédie et de la fiction. »
Le rédacteur en chef de Chronic'art, Jérôme Momcilovic, va même plus loin : « James L. Brooks est un des plus grands cinéastes américains en activité, et chez nous presque personne ne le sait, presque personne ne veut le voir ». Il définit ensuite une des grandes forces du cinéma de Brooks : « Chez Brooks, la parole est thérapeutique, au sens où elle permet de corriger les situations, les caractères, de les tordre jusqu’à en extraire le jus d’une vérité, même provisoire. Pour trouver le bonheur, chercher la bonne parole : tous ses personnages font le même trajet, qui les mène du réconfort précaire d’une parole toute faite (...) vers une autre parole, plus ample et complexe, plus riche surtout d’être partagée. C’est pourquoi les dialogues sont aussi beaux chez Brooks : parce qu’il n’y a pas chez lui d’événement plus intense – parce que dans chaque dialogue, il y a une épiphanie ».
Best films
(2007)
(Scriptwriter)
(1997)
(Director)
(1996)
(Producer)
(1989)
(Producer)
(1988)
(Producer)
(1983)
(Director) Usually with