Lors de la poursuite d'un combattant FLN par la police coloniale dans les rues de la Casbah d'Alger; celui ci parvient , avant son arrestation imminente, à remettre des papiers confidentiels à Mourad, un enfant algérien, crieur de journaux de son état qui doit impérativement les remettre à un militant nationaliste dénommé Mouloud Tebbakh. Mais la police est à ses trousses et est prête à tout pour les récupérer.
Clément et Anne forment un couple élégant et aisé. Sujet à la jalousie, Clément fréquente Serge, chef d'un groupuscule d'extrême droite (pouvant faire penser à une cellule de l’OAS).
Michel Jussieu, un producteur de cinéma, revient un matin dans le cabaret où il a oublié son chandail. Il est le témoin involontaire du meurtre d’un journaliste d’extrême droite. Il reconnaît Eléonore et Patrice, membres d'une organisation politique secrète, connus depuis les années de Résistance. Il est assommé et se réveille en présence du commissaire Malferrer, chargé de l’enquête. Innocent, Michel nie son implication dans ce meurtre mais ne peut se résoudre à dénoncer les vrais coupables. Car Michel est hanté par le souvenir d'un autre interrogatoire 20 ans plus tôt, où, devant la Gestapo, il a craqué. Devra-t-il garder le silence ou bien se livrer à une nouvelle dénonciation ?
En 1962, afin d'empêcher le général de Gaulle de céder aux revendications du FLN et de laisser l'Algerie devenir indépendante, les membres de l'OAS décident de faire évader le Général Challe, emprisonné à Tulle. Le commandant Dominique Clavet (Jean Rochefort), succédant à son chef Cyrus qui a été arrêté, organise avec ses hommes un hold-up pour financer l'évasion. Dans le même temps, aidé par des « barbouzes », le commissaire divisionnaire Lelong (Michel Bouquet), loyal au gouvernement mais désabusé, enquête sur cette conjuration, ayant parfois des doutes devant la complexité de la situation.
Roger, instituteur breton, part enseigner en Tunisie, puis dans l'Algérie en guerre : il prend parti, tandis que son amie d'enfance Gwen, animatrice de radio, choisit la voie de la neutralité.
Le film se déroule en juillet 1961, durant la Guerre d'Algérie (Jacques Davila est natif d'Oran). Pierre, un jeune homme qui fait ses études à Paris, vient passer ses vacances en Algérie, chez sa mère Hélène (Micheline Presle). Celle-ci vit à la campagne avec son ami Jean. À l'occasion d'une fête, Pierre revoit sa petite amie (en passe de le quitter) et une partie des personnes de son passé. À rien de tout cela il ne semble vraiment attaché.
Entre 1954 et 1962, pres de 3 millions de jeunes Francais, appeles ou rappeles, ont fait une guerre qui ne voulait pas dire son nom. Trente ans apres, ceux qui n'ont jamais parle racontent.
Le film retrace quelques jours de la vie du sous-lieutenant Roque, pendant la Guerre d'Algérie. Il a sous ses ordres 400 soldats français dont quatre jeunes musulmans qui se sont engagés et qui sont très utiles au reste du poste (qui se situe dans le Sud-Est algérien) en ce qui concerne les traductions de l'arabe au français.
France, 1993. The retired Colonel Raoul Duplan is shot in his home. As the police is baffled, the young army officer Galois leads the investigation. Shortly thereafter, she receives a letter containing some diary pages of a lieutenant who served since 1955 in the Algerian war under the command Duplan and disappeared in 1957 under mysterious circumstances.
À Alger, durant la guerre d'Algérie un des responsables du FLN est arrêté par l'armée qui emploie les méthodes les plus violentes pour faire parler les prisonniers. Le recours à la torture pose un cas de conscience à un officier français. Jouant sur le champ-contre-champ, entre le torturé et son tortionnaire, dans un huis clos étouffant.
Boufarik, Algérie, en 1960. Salah et Boualem, deux garçons de vingt ans qui portent chemises à la mode et lunettes noires, s'intéressent plus au twist qu'au travail et à la guerre d'indépendance. Lorsque la guerre se termine, Boualem sait choisir le « bon côté », celui des profiteurs...
Marc, la quarantaine, marié, père de famille, vit à Aix-en-Provence, près de la Méditerranée. Agent immobilier dans l'agence de son beau-père, il mène une vie tranquille. Alors qu'il fait visiter une maison à vendre, il croise une femme qui veut acheter cette maison pour le compte d’un marchand de bien et dont le visage lui semble familier. Le soir, il pense qu'il s'agit de Cathy, son amour d'enfance, quittée à douze ans lorsque sa famille dut fuir Oran, dans les années 1960, en pleine guerre d'Algérie. Troublé par cette rencontre il se remémore son amour d’enfance et retombe follement amoureux d’elle, oubliant sa femme et sa fille. Il la revoit et a une relation sexuelle avec mais elle le quitte au matin sans lui donner ses coordonnées en lui disant simplement qu’ils se reverront le jour de la signature du compromis de vente chez le notaire. Ils se revoient ce jour là mais après elle disparait de nouveau bien que lui ayant promis de le revoir à son hotel. Marc est troublé et se rend compte qu’il y a des choses étranges car sa mère et sa soeur lui apprennent que Cathy est morte avec son père dans un attentat peu aprés son propre départ précipité vers la France avec ses parents. Il mène son enquête partagé ente espoir et doute car il s’est de nouveau follement épris de celle qu’il croit être Cathy. Au fil de ses découvertes il découvre que « Cathy » est mêlée plus ou moins malgré elle a une opération immobilière frauduleuse montée par un des collègues de Marc et qu’en fait la dite Cathy est en réalité sa meilleure amie Marie-Jeanne (amoureuse de Marc lorsqu’ils étaient tous ensemble) que Marc avait cotoyé mais ignoré car à l’époque il n’avait d’yeux que pour Cathy. Cathy qui est bien morte en Algérie comme sa mère et sa soeur le savaient mais ne lui en avaient rien dit à l’époque car sachant son amour pour Cathy et son désespoir d’avoir du quitter l’Algérie et son amour d’enfance. Quelques mois plus tard alors que Marc est séparé de sa femme et vit seul il revoit Marie-Jeanne (la fausse Cathy) qui lui avoue avoir toujours été amoureuse de lui et a souffert en silence dans l’ombre, elle n’a jamais dit être Cathy mais éprouvant encore de l’amour pour lui elle n’a pas eu le courage de le détromper. Ils se revoient quelque temps plus tard et Marc lui dit qu’il va revenir sur les lieux de son enfance mais elle avoue ne pas en avoir le courage. Le film se termine à Oran où on voit Marc en pleurs qui revient sur la terrasse où il a passé de tendres moments avec Cathy. On ne sait pas comment se poursuivrait la relation entre Marie-Jeanne et Marc mais ils semblent néanmoins très proches lors de leur dernière entrevue avant le depart de Marc pour l'Algérie donc on peut supposer une suite positive a leur relation.
Ce film documentaire est sorti à l’occasion du cinquantenaire des événements survenus au moment et après la manifestation pacifique des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris durant la guerre d'Algérie, organisée par la Fédération de France du FLN en réaction à un couvre-feu institué par le préfet de police Maurice Papon pour les seuls Algériens favorables à l'indépendance de leur pays. La manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre dont le nombre de victimes est estimé entre 80 et 200 morts. Les cadavres seront, pour certains, retrouvés flottant dans la Seine.