Derby Crazy Love explores the evolution of the reemerging Flat Track Roller Derby, with a focus on its international sisterhood. There are over 100 leagues in Canada and 1,400 worldwide. Maya Gallus, one of the co-creators, explains, “[Derby is] female-dominated and player-owned and -operated, which already distinguishes it from any other sport.” As the film begins, Montreal’s New Skids on the Block rematch against the UK’s London Rollergirls for a shot at the international championships, and New York City’s Gotham Girls (which includes derby superstar, Suzy Hotrod and Bonnie Thunders) defend their title. This film captures how roller derby is part of punk’s counterculture, which tackles issues of masculinity, femininity, aggression, body image, queer identity and gender norms. Each team consists of athletes with these various identities that have found a team where they belong. Gallus states, “Nobody’s making a big feminist point or a queer statement, [derby] just is inclusive.” This sport is also a healthy outlet for of aggression, which is often denied to women. Montreal’s team leader, Smack Daddy, summarizes the spirit of derby, “The fact that you’re combining roller skating, which is like, ‘let’s hold hands and go to the roller-rink,’ with chicks beating on each other physically is like, fireworks.
Anne Silver, a Belgian filmmaker, is travelling through West Germany, Belgium, and France to promote her new film. Along the way, she meets with strangers, friends, former lovers, and family members, all the while traversing an isolating and increasingly homogeneous Western Europe.
La tradition a toujours été respectée dans ce petit village du Gujarat, surtout par les femmes qui ne remettent pas en cause l'organisation patriarcale, voire franchement phallocrate, de cette société rurale. Rani, jeune veuve, négocie, avec son amie Lajjo, le mariage de son fils Gulab avec une jeune adolescente, Janaki. L'affaire est conclue. Quand les deux femmes reviennent à leur village, un conseil est réuni pour décider l'avenir d'une jeune fille qui fuit sa belle-famille parce que son mari la délaisse et que les autres hommes de la belle-famille abusent d'elle. Mais les anciens ne sauraient tolérer une telle infamie : il renvoie la jeune fille à son sort. Rani tente vainement, mais mollement de protester. Rani, Lajjo, questionnées, aiguillonnées par leur amie Bijli, prostituée et danseuse d'une sorte de cabaret, commencent à remettre en cause cet ordre moral qui interdit l'éducation et l'indépendance aux femmes. Le film se termine par la crémation symbolique du démon Rāvaṇa lors de la nuit de Dussehra commémorant la libération de Sītā par son époux Rāma, nuit au cours de laquelle périt par le feu Manoj, le mari alcoolique et violent de Lajjo. Puis les trois femmes partent sur le triporteur bariolé du cabaret, libres et sans but.
Une jeune fille fête son anniversaire et a invité quelques amis chez elle, dans un pavillon de banlieue, en Normandie. Mais les trois garçons restent à l'intérieur pour jouer à un jeu vidéo médiéval alors que les trois filles auraient envie que tout le monde joue ensemble dehors. Dépitées, elles se lamentent dans le salon et regrettent le rôle qu'avaient les femmes au Moyen Âge : « Quand on est des princesses, on n'a aucun pouvoir ». Daniel, le grand-père de la fille qui fête son anniversaire, entend la conversation et leur dit qu'elles ont tort de penser ainsi. Il prend un ouvrage dans la bibliothèque et se propose de leur raconter plusieurs histoires démontrant que les femmes étaient bien plus importantes qu'on ne le pense durant l'époque médiévale.