Search a film or person :
FacebookConnectionRegistration
Olivier Meyrou is a Director and Writer French born on 9 february 1966 at Antony (France)

Olivier Meyrou

Olivier Meyrou
  • Infos
  • Photos
  • Best films
  • Family
  • Characters
  • Awards
If you like this person, let us know!
Nationality France
Birth 9 february 1966 (58 years) at Antony (France)

Olivier Meyrou, né le 9 février 1966 à Antony (Seine), est un réalisateur de documentaires français.

Biography

Après des études universitaires en littérature et communication, il entre à la Fémis dont il sort diplômé du département production en 1993. Il étudie ensuite à New York où il réalise deux documentaires.

Usually with

Source : Wikidata

Filmography of Olivier Meyrou (1 films)

Display filmography as list

Director

Beyond Hatred, 1h26
Directed by Olivier Meyrou
Origin France
Genres Documentary
Themes Films about racism, Films about sexuality, Bisexuality-related films, LGBT-related films, Documentary films about racism, Documentary films about law, Documentaire sur l'homosexualité, LGBT-related films, LGBT-related film
Rating66% 3.306373.306373.306373.306373.30637
À Reims, en septembre 2002, François Chenu, 29 ans, est battu à mort dans un parc. Les trois Boneheads, reconnus coupables devant la cour d'assises, ont agi par homophobie après avoir voulu, selon leur expression, « casser de l'arabe ». La famille de François se livre, dans un douloureux processus de deuil, en rejetant résolument la haine. Ce n'est pas un film sur l'homophobie d'abord, c'est aussi un film sur le deuil et le pardon, l'impossibilité de pardonner.

Scriptwriter

Beyond Hatred, 1h26
Directed by Olivier Meyrou
Origin France
Genres Documentary
Themes Films about racism, Films about sexuality, Bisexuality-related films, LGBT-related films, Documentary films about racism, Documentary films about law, Documentaire sur l'homosexualité, LGBT-related films, LGBT-related film
Roles Writer
Rating66% 3.306373.306373.306373.306373.30637
À Reims, en septembre 2002, François Chenu, 29 ans, est battu à mort dans un parc. Les trois Boneheads, reconnus coupables devant la cour d'assises, ont agi par homophobie après avoir voulu, selon leur expression, « casser de l'arabe ». La famille de François se livre, dans un douloureux processus de deuil, en rejetant résolument la haine. Ce n'est pas un film sur l'homophobie d'abord, c'est aussi un film sur le deuil et le pardon, l'impossibilité de pardonner.