Ce documentaire retrace les quatre années de pouvoir de Thomas Sankara, président du Burkina Faso de 1983 à 1987. Chef d’État surprenant, il est surnommé « le Che africain » et connu de tous en Afrique pour ses idées novatrices, son franc-parler teinté d’humour ravageur, sa fougue et son altruisme. Avec une arme dans une main et les œuvres de Karl Marx dans l’autre, Sankara devint président à l’âge de 34 ans. Il bouscula immédiatement les fondations du pays au nom colonial français, Haute-Volta, qu’il renomma Burkina Faso, « Terre des hommes intègres ». Ce film rend compte de l’impact de cet homme et de sa politique sur les Burkinabés et sur l’Afrique en général.
Le film traite de l'expérience de Mads Brügger, qui achète une accréditation diplomatique libérienne auprès de la République centrafricaine afin de faire du trafic de diamants, tout en prétextant vouloir créer une usine d'allumettes : ce faisant, il dévoile la corruption qui lie le courtage du titre de diplomate et les diamants de conflits.
Un rêve tchèque est le projet de fin d'études de deux étudiants en cinéma. Ils montent un canular mettant en scène un faux supermarché. Dans la république tchèque post-communiste, les habitants n'ont qu'une envie : consommer. La campagne de publicité fait venir plusieurs milliers de personnes devant une simple bâche tendue représentant un supermarché et leur renvoyant la question sur leurs besoins de consommation.
Avec Darfour : du sable et des larmes, le cinéaste Paul Freedman, lauréat du Peabody Award, nous plonge dans la réalité de la situation au Darfour. Il s'est joint à un contingent des forces pour la paix de l'Union Africaine au Darfour, où l'une des pages les plus tragiques et perturbantes de l'histoire de l'humanité est en train de s'écrire. Alors que les hommes et les femmes de cette mission affrontent des conditions très dures et une violence sans limites, deux millions et demi de personnes déplacées n'ont pas d'autre choix que de trouver refuge dans des camps sordides. A ce jour, on estime que 400 000 civils ont perdu la vie.
En 2008, Mike Campbell – l’un des derniers fermiers blancs au Zimbabwe face au violent programme de réforme agraire – prend le risque sans précédent d’attaquer le Président Robert Mugabe devant le tribunal du SADC (Communauté de Développement Sud-Africain) afin de défendre ses droits. Son exploitation agricole emploie plus de 500 travailleurs et abrite également leurs familles. Mike Campbell accuse Mugabe et son gouvernement de discrimination raciale et de violation des Droits de l’Homme. Embarqués dans un procès hors du commun, Mike et sa famille vont devoir faire face à la violence et à la cruauté du régime du dictateur. Ce documentaire retrace leur combat.
The documentary highlights the lives of people in Middle America, Central United States small town or suburb where most people are middle class, Protestant, and white, which twice helped elect George W. Bush. The movie shows how Kansas, once home to left-wing movements like the Populist Party, became very socially conservative in the late 20th century.
The aphorism "The poor are always with us" dates back to the New Testament, but while the phrase is still sadly apt in the 21st century, few seem to be able to explain why poverty is so widespread. Activist filmmaker Philippe Diaz examines the history and impact of economic inequality in the third world in The End of Poverty?, and makes the compelling argument that it's not an accident or simple bad luck that has created a growing underclass around the world. Diaz traces the growth of global poverty back to colonization in the 15th century, and features interviews with a number of economists, sociologists, and historians who explain how poverty is the clear consequence of free-market economic policies that allow powerful nations to exploit poorer countries for their assets and keep money in the hands of the wealthy rather than distributing it more equitably to the people who have helped them gain their fortunes. Diaz also explores how wealthy nations (especially the United States) seize a disproportionate share of the world's natural resources, and how this imbalance is having a dire impact on the environment as well as the economy.
The film exhibits a series of sculptures, masks and other traditional art from Sub-Saharan Africa. The images are frequently set to music and cut to the music's pace. The narrator focuses on the emotional qualities of the objects, and discusses the perception of African sculptures from a historical and contemporary European perspective. Only occasionally does the film provide the geographical origin, time period or other contextual information about the objects. The idea of a dead statue is explained as a statue which has lost its original significance and become reduced to a museum object, similarly to a dead person who can be found in history books. Interweaved with the objects are a few scenes of Africans performing traditional music and dances, as well as the death of a disemboweled gorilla.
Afrique 50 est le premier film anticolonialiste français. À l’origine, il s’agit d’une commande de la Ligue française de l’enseignement destinée à montrer aux élèves la mission éducative menée dans les colonies françaises d’Afrique de l'Ouest. Mais, sur place, le réalisateur, âgé de 21 ans seulement, décide de témoigner de la réalité : le manque de professeurs et de médecins, les crimes commis par l’armée française au nom du peuple français, l’instrumentalisation des populations colonisées… Le film fut interdit pendant plus de 40 ans et valut à René Vautier plusieurs mois d’emprisonnement.