The 'Stalker' (Alexander Kaidanovsky) works in some unclear area in the indefinite future as a guide who leads people through the 'Zone', a vicinity in which the normal laws of reality no longer fully apply. The Zone contains a place called the 'Room', said to grant the wishes of anyone who steps inside. The area containing the Zone is sealed off by the government and great hazards exist within it. At home with his wife and daughter, the Stalker's wife (Alisa Freindlich) begs him not to go into the Zone but he ignores her pleas. In a rundown bar, the Stalker meets his next clients for a trip into the Zone. The 'Writer' (Anatoly Solonitsyn) and the 'Professor' (Nikolai Grinko) agree to put their fate into the hands of the Stalker. Their specific names do not come up as they all agree to refer to each other pseudo-anonymously by just their professions.
The didactic film is built around the ideas of French physician, writer and philosopher Henri Laborit, who plays himself in the film. It uses the stories of three people to illustrate Laborit's theories on evolutionary psychology regarding the relationship of self and society.
Behzad, Keyvan, Ali and Jahan who are journalists but pretend to be production engineers arrive in a Kurdish village to document the locals' mourning rituals that anticipate the death of an old woman, but she remains alive. The main engineer is forced to slow down and appreciate the lifestyle of the village.
Hossein Rezai plays a local stonemason-turned-actor. Outside the set of a film in which he is acting, he makes a marriage proposal to his leading lady, a student named Tahereh, who was orphaned by an earthquake. Because he is poor and illiterate, the girl's family finds his offer insulting; the girl avoids him as a result. She continues evading him even when they are filming, as she seems to have trouble grasping the difference between her role in the film and her real-life self. The fictional couple takes part in what would be the filming of Life, and Nothing More....
En 1816, Charlotte Kestner voyage en compagnie de sa fille, et s'arrête à Weimar, à l'hôtel l'Éléphant. Les gens des alentours reconnaissent en elle le grand amour de jeunesse de Goethe, celle dont il s'était inspiré pour écrire Werther. Prévenu par les rumeurs, le poète, qui vit toujours à Weimar, finit par lui rendre visite.
The film takes place in the Jewish community of Algeria during the 1920s. One day a Rabbi finds that his talking parrot, which is very noisy, has been eaten by his cat and that the cat has gained the ability to speak in human tongues. However, the Rabbi finds that the cat is very rude and arrogant, so the rabbi teaches the cat about the Torah, with the cat deciding that if he is Jewish then he should receive a bar mitzvah, leading the two to consult with the rabbi's rabbi. The cat proceeds to mock and insult the rabbi's rabbi's strict views, who declares that the cat should be killed for its heresy. The rabbi takes his cat and leaves, mad at the cat for making a fool of his master, but the two eventually reach an agreement where the rabbi will teach the cat all about the Torah, and that someday he might have his bar mitzvah when he is ready.
À travers la vie du savant et philosophe Averroès, est évoquée l'Andalousie du XII siècle, lieu d'affrontements entre extrémistes musulmans et savants soucieux de la diffusion des connaissances.
L'histoire commence en Norvège en 1990. Sophie Amundsen, une jeune fille, reçoit un jour dans sa boîte aux lettres une carte portant seulement les mots : « Qui es-tu ? » Une autre suit, portant les mots : « D'où vient le monde ? », puis d'autres encore. De fil en aiguille, Sophie se retrouve à lire les cours de philosophie du mystérieux Alberto Knox, qui présentent sous une forme attrayante l'histoire de la philosophie, ses grands thèmes et ses grandes figures.
Emmanuel Kant, le célèbre philosophe, auteur de la Métaphysique des mœurs, approche de la fin de sa vie. Son existence est entièrement rythmée par des habitudes prises depuis de longues années. Le départ de son majordome va bouleverser cette vie si bien planifiée...
Dans une école maternelle du Mée-sur-Seine, située dans une ZEP de Seine-et-Marne, une institutrice met en place un atelier philosophique pour faire réfléchir les enfants, dès l'âge de 3 ans, aux diverses questions qui préoccupent les êtres humains tout au long de leur vie : l'amour, la liberté, la mort, l'autorité, la différence ou encore l'intelligence.
Ce film a pour titre un slogan qui a fait le tour de la Grèce en crise depuis 2010 et qui commence à voyager au-delà : « Ne vivons plus comme des esclaves », qui se prononce « Na min zisoumé san douli » en grec. Un slogan qu'on peut lire en Grèce sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et qu'on peut entendre sur certaines stations de radio et dans les lieux d’autogestion qui se multiplient. Un slogan diffusé jour après jour, et que les intervenants grecs du film invitent les spectateurs à reprendre en chœur, sur les mélodies du film réalisé en coopération avec eux.
En 1844, Karl Marx, jeune journaliste et philosophe de 26 ans, est victime de la censure en Allemagne. Il s’exile à Paris avec sa femme Jenny von Westphalen. Ils y font la rencontre de Friedrich Engels, fils révolté d’un riche industriel allemand. Le trio va alors décider qu'il faut changer le monde et débutent la rédaction d'une œuvre qui accompagnera les multiples révoltes ouvrières en Europe : le Manifeste du Parti communiste.
Sanja le Bandit, après une fusillade particulièrement vicieuse, tombe sur le musicien Oleg au bain local. Suite au récit d'une histoire semi-mythologique, le couple décide de faire un pèlerinage vers un "clocher du bonheur".