Miklós Jancsó is a Actor, Director and Scriptwriter Hongrois born on 27 september 1921 at Vác (Hongrie)
Miklós Jancsó
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Nationality HongrieBirth 27 september 1921 at Vác (
Hongrie)
Death 31 january 2014 (at 92 years) at Budapest (
Hongrie)
Awards Kossuth Prize
Miklós Jancsó ([ˈmikloːʃ ˈjɒntʃoː]; born September 27, 1921) is a Hungarian film director and screenwriter.
Jancsó achieved international prominence from the mid-1960s onwards, with works including The Round Up (Szegénylegények, 1965), The Red and the White (Csillagosok, katonák, 1967) and Red Psalm (Még kér a nép, 1971).
Jancsó's films are characterized by visual stylization, elegantly choreographed shots, long takes, historical periods, rural settings, and a lack of psychoanalyzing. A frequent theme of his films is the abuse of power. His works are often allegorical commentaries on Hungary under Communism and the Soviet occupation, although some critics prefer to stress the universal dimensions of Jancsó's explorations. Towards the end of the 1960s and especially into the 1970s, Jancsó's work became increasingly stylized and overtly symbolic. Biography
Il suit des études de droit, d’ethnographie et d’histoire de l’art, puis apprend la réalisation à l’École supérieure de cinéma (Filmművészeti Főiskola, aujourd'hui université d'art dramatique et cinématographique) de Budapest entre 1946 et 1950, d'où il sort diplômé en 1951. Très influencé par l'œuvre de Zsigmond Móricz, il a milité dans un mouvement de gauche qui s'intéressait à l'enfance ouvrière et paysanne. Pour de nombreux films, il s'attache à l'histoire de la Hongrie. Ainsi, Cantate (1962), qui est l'adaptation de Cantata profana du compositeur hongrois Béla Bartók est une métaphore de l'Insurrection de Budapest de 1956. Les Sans-Espoir (1965) évoque la période de la Révolution hongroise de 1848. Trois de ses films suivants abordent la période de luttes sanglantes entre révolutionnaires et contre-révolutionnaires, autour des années 1918-1919 : Rouges et blancs (1967), Silence et cri (1968) et Agnus Dei (Égi bárány) (1971). Psaume rouge (1972) « propose un "condensé" des révoltes paysannes à la fin du XIX siècle » (Émile Breton : Dictionnaire des films, Microcosme/Seuil). Il connaît une reconnaissance internationale principalement dans les années 1960 et 1970 (prix de la mise en scène au Festival de Cannes en 1972 pour Psaume rouge).
En 1973, il reçoit le Prix Kossuth.
Dans les années qui suivent, il enseigne le cinéma à travers le monde (Italie, États-Unis et Hongrie), tout en continuant à réaliser mais sans connaître le même succès. Pour Jacques Mandelbaum dans Le Monde, Psaume rouge « est l’apogée d’une œuvre qui va se poursuivre jusqu’en 2010, mais dont on perd insensiblement la trace dès la mi-temps des années 1970 […]. Force est de reconnaître qu’une grande partie des films réalisés par Miklos Jancso à compter des années 1980 n’ont tout bonnement plus été visibles. »
Il fut marié à la réalisatrice Márta Mészáros.
Il était membre d'honneur du Club de Budapest.
Une rétrospective lui est consacrée à la Cinémathèque française en 2015
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