Roscoe Arbuckle is a Actor, Director and Scriptwriter American born on 22 march 1887 at Smith Center (USA)
Roscoe Arbuckle
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Birth name Roscoe Conkling ArbuckleNationality USABirth 22 march 1887 at Smith Center (
USA)
Death 29 june 1933 (at 46 years) at New York City (
USA)
Creator of Comique Film Corporation
Roscoe Conkling "Fatty" Arbuckle (March 24, 1887 – June 29, 1933) was an American silent film actor, comedian, director, and screenwriter. Starting at the Selig Polyscope Company he eventually moved to Keystone Studios where he worked with Mabel Normand and Harold Lloyd. He mentored Charlie Chaplin and discovered Buster Keaton and Bob Hope. Arbuckle was one of the most popular silent stars of the 1910s, and soon became one of the highest paid actors in Hollywood, signing a contract in 1920 with Paramount Pictures for US$1 million (equivalent to approximately $13 222 015 in 2015 dollars).
Between November 1921 and April 1922, Arbuckle was the defendant in three widely publicized trials for the rape and manslaughter of actress Virginia Rappe. Rappe had fallen ill at a party hosted by Arbuckle at the St. Francis Hotel in San Francisco in September 1921; she died four days later. Arbuckle was accused by Rappe's acquaintance of raping and accidentally killing Rappe. After the first two trials, which resulted in hung juries, Arbuckle was acquitted in the third trial and received a formal written statement of apology from the jury.
Despite Arbuckle's acquittal, the scandal has mostly overshadowed his legacy as a pioneering comedian. Following the trials, his films were banned and he was publicly ostracized. Although the ban on his films was lifted within a year, Arbuckle only worked sparingly through the 1920s. He later worked as a film director under the alias William Goodrich. He was finally able to return to acting, making short two-reel comedies in 1932 for Warner Bros. He died in his sleep of a heart attack in 1933 at age 46, reportedly on the same day he signed a contract with Warner Brothers to make a feature film. Biography
Roscoe Conkling Arbuckle naît le 24 mars 1887 à Smith Center, petite ville du Kansas. C’est un bébé d’une corpulence exceptionnelle. À cause de sa physionomie, son père, William Goodrich Arbuckle, ne croit pas que l'enfant puisse être le sien et le prénomme alors « Roscoe Conkling » du nom d'un politicien démocrate qu'il méprise. Maltraité par son père, il grandit dans une famille de neuf enfants. À l’automne 1888, les Arbuckle s’installent à Santa Ana en Californie.
II était encore au collège quand on a commencé à l’appeler Fatty (graisseux/gros) et il a été toujours plus connu sous ce nom que sous celui de Roscoe Arbuckle, par lequel il a été inscrit sur les registres de l’état civil. Alors que certains Américains le disent originaire du Texas, Le Bioscope affirmait qu’il était Irlandais et qu’il avait été employé dans une ferme près de Carnodnagh (Londonderry).
Les débuts
Roscoe est doué pour le chant, agile et souple malgré sa corpulence. Il entre très tôt dans la carrière artistique : suivant les biographies, dès neuf ans encouragé par Mollie, sa mère ou à douze ans à la mort de cette dernière en août 1899. À cette époque, il effectue déjà des petits boulots. Dans un hôtel de San José, comme il a l'habitude de chanter en travaillant, il est remarqué par un client, chanteur professionnel. Ce dernier l'inscrit dans un concours pour amateur. Roscoe le gagne et est engagé par David Mann, tourneur de théâtre forain. Il embrasse la carrière artistique, joue la comédie et chante.
En 1904, il est invité par Sid Grauman à venir chanter au Unique Theater à Minneapolis. Il rejoint le Pantages Theatre Group et tourne sur la côte ouest des États-Unis. En 1906, il entre à l'Orpheum Theater à Portland, dans l'Oregon. Le 6 août 1908, il épouse Minta Durfee (1889–1975) et s’engage avec elle dans la troupe du Morosco Burbank Stock Company qui sillonne les États-Unis. Il participe à des tournées qui l'emmènent à Hawaï, en Chine ou au Japon.
En juillet 1909, c’est une première expérience au cinéma. Il signe un contrat avec le studio de la Selig Polyscope Company et tourne sous la direction de Francis Boggs. Il poursuit en parallèle sa carrière sur les planches.
La rencontre avec Mack Sennett
Quand on commença à tourner les premiers films à Los Angeles, il est alors acteur dans un petit théâtre californien. Un ami le présenta au directeur d’une troupe cinégraphique ; il fut engagé avec un salaire de 5 dollars par jour. Presque immédiatement, Mack Sennett le conduisit à rejoindre la Keystone Company.
Fatty et le Voleur (The Gangsters) est le premier film de la Keystone Company dans lequel Roscoe apparaît. Il devient en quelques films une des figures les plus populaires de l’écurie de Mack Sennett et son pseudonyme de « Fatty » apparaît dans les titres comme celui de Mabel Normand, ce qui représente une consécration. Un nombre important de comédies burlesques de la série des Fatty est interprété par les deux « locomotives » (Mabel et Fatty) avant l'arrivée de Charlie Chaplin qui sera la troisième.
En moins d’un an, il tourne dans 45 films, accède à la notoriété et impose de devenir son propre réalisateur. En mars 1914, sort Fatty au poulailler (Barnyard Flirtations) qu’il écrit, dirige et réalise. Désormais Roscoe Arbuckle revendique la maîtrise artistique de ses films et limite ses apparitions sous la direction d’autres réalisateurs. Il tourne toutefois dans trois des films que Chaplin réalise pour la Keystone.
Fin 1915, la Triangle Film Corporation est créée absorbant les Studios Keystone. C’est un montage financier de production et distribution cinématographique qui se base sur les trois réalisateurs prestigieux de l'époque, D. W. Griffith, Thomas Ince et Mack Sennett. La priorité est donnée aux longs-métrages et rapidement des divergences éclatent. La superproduction d’Intolérance s'avère un échec relatif et Griffith quitte l'association bientôt suivi d'Ince et de Sennett. La Triangle Film Corporation sonne le glas de la grande époque de la Keystone.
Roscoe Arbuckle réalise encore une douzaine de films avant de tourner la page Mack Sennett.
La consécration
Le producteur Joseph M. Schenck organise sa maison de production à l’image de la Triangle : trois départements distincts de production des films en fonction de leur genre. Il offre à Roscoe Arbuckle le « département burlesque » : la Comique Film Corporation. Ce dernier signe un contrat de 1 000 dollars par jour, 25 % des bénéfices et l’entier contrôle de ces films.
Roscoe Arbuckle poursuit avec la Comique Film Corporation la série des Fatty avec son neveu et faire-valoir Al St. John et Alice Lake, les deux venant de la Keystone.
Il travaille sur la production de son premier film, Fatty boucher (The Butcher Boy) lorsqu'il rencontre fortuitement Buster Keaton. Il l'a déjà vu jouer au théâtre et l'invite à venir sur les plateaux de tournage. Ce dernier accepte avec joie. Sur place, Keaton a la surprise de se voir proposer de participer au tournage. C'est la première apparition de Buster Keaton à l'écran et le trio formé avec Al St. John est représentatif de la série des Fatty de cette période. Buster Keaton apprend beaucoup de Roscoe Arbuckle qu’il considère comme son mentor. Il participe rapidement à l’écriture et à la réalisation comme dans Fatty chez lui (The Rough House).
Les vingt-deux derniers épisodes de la série des « Fatty » sont ainsi tournés à la Comique. Fort de sa solide expérience, de son entière latitude artistique et financière et secondé par la collaboration de Buster Keaton, c'est sans aucun doute durant cette période que l'on trouve les meilleurs des courts métrages comme Fatty cabotin (Back Stage) ou Le Garage infernal (The Garage).
En 1919, Roscoe Arbuckle signe un fabuleux contrat avec la Paramount et cède ses parts de la Comique à Buster Keaton. Les comédies burlesques sont considérées avec condescendance dans le milieu cinématographique mais tolérées car populaires et rentables. La Paramount offre à Roscoe Arbuckle l'occasion de tourner des longs-métrages. Il en est la vedette principale avec des rôles taillés sur mesure et dans lesquels il a la possibilité d'exprimer ses talents d'acteur dans un registre bien différent de celui de ses premiers courts-métrages qui l'ont rendu célèbre.
L'objectif est atteint dès le premier film, The Round Up de George Melford, un western classique, qui démontre par son succès que Roscoe a su drainer son public vers les grandes salles. Six autres longs métrages s'enchaînent jusqu'au mois d'août 1921. Réalisés par Joseph Henabery ou James Cruze, ils ne démentent pas la pertinence d'avoir engagé Roscoe Arbuckle, même si Adolph Zukor oblige l'acteur à tourner avec frénésie. En à peine plus d'un an, Roscoe Arbuckle aura tourné neuf longs métrages travaillant parfois simultanément sur trois films
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À l'occasion du week-end du Labor Day, il se rend avec deux amis, Fred Fischbach et Lowell Sherman à San Francisco.
L'affaire Roscoe Arbuckle
Le 5 septembre 1921, durant une fête privée organisée au douzième étage du St. Francis Hotel à San Francisco, l'actrice et modèle Virginia Rappe est prise de violentes douleurs abdominales. Vers 15 h, selon ses déclarations, Roscoe Arbuckle découvre la starlette dans la salle de bains de la chambre qu'il occupe lorsqu'il s'y rend pour se changer. Les autres invités prévenus, un docteur est appelé et Virginia Rappe conduite dans une autre chambre de l'hôtel. Roscoe Arbuckle quitte alors le St. Francis.
Quatre jours plus tard, le 9 septembre, Virginia Rappe meurt d'une péritonite due à une rupture de la vessie. Maude Delmont, qui l'accompagnait à la fête, se rend à la police pour déclarer que Virginia Rappe est morte après un viol perpétré par Roscoe Arbuckle. Le 11 septembre, Roscoe Arbuckle est arrêté, accusé du viol et de l'homicide de l'actrice.
Dès l'annonce de l'arrestation de Roscoe Arbuckle, ce fait divers est l'objet d'une campagne de presse sans précédent. Fer de lance du déchaînement médiatique, le San Francisco Examiner de William Randolph Hearst fait en quelques gros titres le procès de Roscoe Arbuckle, bien avant son passage devant un jury destiné à déterminer son chef d'inculpation. C'est avant tout les mœurs supposés dépravées de la gent cinématographique qui sont mises en cause. La presse se fait l'écho d'anecdotes ou de supputations farfelues concernant l'affaire. La réaction de l'opinion publique est soudaine et violente, emboîtant le pas aux ligues de vertu et aux ligues féministes. La presse et la profession condamnent Roscoe Arbuckle avant tout procès.
Trois procès sont nécessaires pour acquitter le prévenu (novembre 1921, janvier 1922, mars-avril 1922). Les charges ne reposent que sur des témoignages démontés par la défense et les experts médicaux concluent à une mort naturelle.
A l'issue du troisième procès, le 12 avril 1922, les jurés ne délibèrent que six minutes et concluent à son innocence à l'unanimité :
« L'acquittement n'est pas suffisant pour Roscoe Arbuckle. Nous pensons qu'une grande injustice a été commise. Nous pensons également qu'il est de notre devoir de lui donner cette exonération, en vertu de la preuve, car il n'y a pas la moindre charge à retenir contre lui, ni en aucune façon lieu de retenir la notion de crime. Il a été courageux tout au long de l'affaire et a raconté à la barre des témoins une histoire simple à laquelle nous avons tous cru. Ce qui s'est passé à l'hôtel est une malheureuse affaire pour laquelle Arbuckle, comme le démontre la preuve, n'a été en aucun cas responsable. Nous lui souhaitons plein succès et espérons que le peuple américain portera toute l'attention à l'arrêt de quatorze hommes et femmes qui ont siégé durant 31 jours et concluent que Roscoe Arbuckle est totalement innocent et exempt de toute responsabilité. »
— Décision du jury (12 avril 1922).
Le procès d'Hollywood
Le 18 avril 1922, Roscoe Arbuckle devient cependant le premier acteur à être mis sur une liste noire. William Hays déclare : « Après avoir longuement consulté M. Nicholas Schenck, représentant M. Joseph Schenck, les producteurs, et M. Adolph Zukor et M. Jesse L. Lasky de la Société Famous Players-Lasky, les distributeurs, à ma demande, ont annulé toutes les projections et toutes les réservations des films d'Arbuckle ».
William Hays est un sénateur républicain, ministre des Postes lorsqu'éclate l'affaire Arbuckle/Rappe. Président du bureau national du Parti républicain de 1918 à 1921 et directeur de campagne du président des États-Unis Warren G. Harding en 1920, il est fortement impliqué dans la vie politique américaine. Lors de l'affaire, il prend position aux côtés des partisans de l'ordre et de la moralité.
Il participe à la création de la Motion Picture Producers and Distributors of America (MPPDA) qui tente de donner une nouvelle image de l'industrie cinématographique. C'est un comité de censure chargé de veiller au contenu des films dans le but de se substituer aux comités de censures propre à chaque État. Créé dans le sillage de l'affaire Arbuckle/Rappe, c'est une organisation non gouvernementale qui conduit dans les années 1930 à l'adoption du code de morale cinématographique connu sous le nom de Code Hays.
L'interdiction de Roscoe Arbuckle est la première décision de la MPPDA. Adolph Zukor ayant déjà édicté une « liste de recommandations impératives » se bat pour imposer la morale dans la production de la Paramount faisant pression sur les gens qu'il dirige. Il est l'employeur de Roscoe Arbuckle et se trouve en porte-à-faux entre son discours moralisateur et les scandales qui découlent de l'affaire.
Le 2 février 1922 au matin est découvert le corps de l'acteur William Desmond Taylor, tué d'une balle dans le dos. Taylor est un acteur et réalisateur populaire de la Paramount. Parmi les nombreux suspects, beaucoup sont aussi des personnes proches de la Paramount. Mary Miles Minter, la jeune star du moment et maîtresse de Taylor, mais surtout Mabel Normand amie proche de la victime dont le nom est étroitement associé à Roscoe Arbuckle. La décision de la MPPDA intervient dans ce contexte qui est une raison supplémentaire pour expliquer la rigueur et l'iniquité de l'interdiction de Roscoe Arbuckle.
Lorsque William Hays tente de lever officiellement cette interdiction en décembre 1922, c'est un tollé général. De fait, Roscoe Arbuckle n'est pas autorisé à jouer dans des films pour les dix prochaines années.
William Goodrich
Roscoe Arbuckle quitte les États-Unis pour un voyage en Europe au mois d'août 1922.
L'éditorial du New York Times du 22 décembre 1922 consécutif à l'annonce de la levée de l'interdiction de Roscoe Arbuckle résume la situation : « Parfois, il est avantageux qu'un seul homme soit sacrifié pour son groupe. Arbuckle a été un bouc émissaire et la seule chose à faire avec un bouc émissaire, si vous devez en avoir un, c'est de le chasser dans le désert et ne jamais le laisser revenir. L'industrie du cinéma n'a aucun intérêt à le laisser trotter de nouveau dans le salon car il porte toujours son odeur avec lui. » Aux yeux de la justice, Roscoe Arbuckle est lavé de tout soupçon, mais il y a eu tellement d'écrits et de passions soulevés lors de cette affaire, que la personnalité de ce dernier reste à tout jamais entachée du parfum de scandale. Son personnage de gentil garçon grassouillet, pas toujours très intelligent mais le cœur sur la main, est désormais associé à la perversion, au lucre et aux mœurs dévoyées d'une population qui sait autant susciter le rêve que les fantasmes.
Dans la communauté du cinéma, les partisans de la moralité sont légion et d'autres s'arrangent de cette victime expiatoire. Considéré comme le seul rival de Charlie Chaplin un an auparavant, il tombe en disgrâce et peu nombreux sont les fidèles qui ne se détournent pas de lui. Comprenant qu'il a peu de chances de revenir devant les caméras, c'est derrière qu'il poursuit son travail. Buster Keaton le fait travailler à ses côtés pour l'écriture et la réalisation de ses films comme pour Daydreams ou Sherlock Junior et Al St. John lui sert de prête-nom pour les films qu'il réalise. Grâce à l'influence de Joseph M. Schenck, il devient réalisateur et prend une partie du nom de son père comme pseudonyme : William Goodrich excluant ainsi le nom de famille, pour réaliser près d'une cinquantaine de courts-métrages entre 1925 et 1932. Durant cette période, il tourne un long métrage, The Red Mill en 1926. Buster Keaton intercède en sa faveur auprès de Marion Davies et la Metro-Goldwyn-Mayer pour que lui soit confiée la réalisation. King Vidor est chargé de le chaperonner. Le film a un petit succès mais l'expérience n'est pas renouvelée.
Minta Durfee entame une procédure de divorce en novembre 1923 et Roscoe épouse le 16 mai 1925, Doris Deane une actrice de second plan dont il divorcera quatre ans plus tard.
De 1927 à 1930, Roscoe Arbuckle s'éloigne du cinéma. Il remonte sur les planches au printemps 1927 et entame une tournée à travers les États-Unis. Il a occasionnellement des problèmes lors de manifestations d'hostilité liée à l'affaire Arbuckle. En avril 1928 à Minneapolis il est interdit de représentation par la municipalité qui craint des troubles. Il annule sa tournée et retourne à Hollywood. Il rachète alors un cabaret, The Plantation dans la banlieue de Los Angeles, mais on est encore sous la période de la prohibition.
En 1930, il revient au cinéma pour réaliser à nouveau plus de trente courts-métrages. Mais il a perdu la flamme des débuts et c'est essentiellement un travail alimentaire. Louise Brooks dira à Kevin Brownlow : « Il ne faisait rien pour diriger le film. Il était assis dans son fauteuil comme un homme mort. Il était un très agréable et doux mort depuis le scandale qui avait ruiné sa carrière. Mais c'était une chose extraordinaire pour moi de venir pour faire ce film et me rendre compte que mon réalisateur était le grand Roscoe Arbuckle que je trouvais magnifique dans ses films. »
La fin d'une carrière
En 1932, Arbuckle signe un contrat avec la Warner Bros. pour être la vedette, sous son propre nom, d'une série de six courts métrages produits par la Vitaphone. Il y renoue avec la comédie et retrouve Al St. John mais il s'agit surtout de films sonores. Hey, Pop !, sort en novembre 1932 et c'est tout de suite le succès. Seul le British Board of Film Censors en interdit la diffusion en référence à l'affaire de 1921. Le troisième de la série sort le 24 juin 1933. Devant le succès de ces trois premiers films et le tournage des trois suivants terminé, la Warner signe un contrat sur un long métrage. Le soir même, Roscoe Arbuckle a une attaque cardiaque et s'éteint dans la nuit.
Roscoe Arbuckle a été incinéré et ses cendres dispersées dans l'océan Pacifique.
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