Victor Erice is a Director and Scriptwriter Espagnol born on 30 june 1940 at Karrantza (Espagne)
Victor Erice
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Nationality EspagneBirth 30 june 1940 (84 years) at Karrantza (
Espagne)
Víctor Erice Aras ([eˈɾiθe]; born 30 June 1940) is a Spanish film director.
He studied law, political science, and economics at the University of Madrid. He also attended the Escuela Oficial de Cinematografia in 1963 to study film direction. He wrote film criticism and reviews for the Spanish film journal Nuestro Cine, and made a series of short films before making his first feature film, The Spirit of the Beehive (1973), a critical portrait of the rural Spain of the 1940s.
Ten years later, Erice wrote and directed The South (1982), based on a story from Adelaida García Morales, considered a masterpiece although the producer Elías Querejeta only allowed him to film the first two-thirds of the story. His third movie, The Quince Tree Sun (1992) is a documentary about painter Antonio López García. The film won the Jury Prize and the FIPRESCI Prize at the 1992 Cannes Film Festival.
He was a member of the jury at the 2010 Cannes Film Festival in May. Biography
Victor Erice étudie le droit et les sciences politiques à l'université de Madrid,
Il est admis à la Escuela Oficial de Cinematografía (EOC), où il obtient le Diplôme de Réalisateur. Il écrit des articles, des critiques pour les revues Nuestro Cine et Cuadernos de Arte y pensamiento. Il travaillera d'abord comme scénariste, puis comme réalisateur de films publicitaires.
C'est en 1969 qu'il débute à la réalisation de cinéma avec l'un des trois épisodes de Los desafíos. Il tourne en 1973 son premier long-métrage, El espíritu de la colmena, qui recevra la plus haute distinction du Festival International de Cinéma de San Sebastian, la Coquille d'Or, et lui permettra d'accéder à une reconnaissance publique et critique notable.
En 1983, il dirige El Sur, d'après un roman d'Adelaida García Morales, son épouse d'alors. C'est une œuvre dans la lignée des thématiques déjà abordée dans El Espiritu de la colmena : l'enfance et l'accès à l'individuation dans les sociétés en crise, l'expérience du cinéma, les relations au père, l'exil... Victor Erice dira de ce deuxième film qu'il reste inachevé : un deuxième volet était en effet prévu, qui n'a pu être produit : le producteur Elías Querejeta ne parviendra pas à convaincre le principal financeur du projet.
Encore une décennie plus tard (1992), Victor Erice réalise El Sol del membrillo, avec la collaboration du peintre Antonio Lopez-Garcia,. Le film sera présenté au Festival de Cannes, où il obtient le Premier Prix du Jury et celui de la Critique Internationale (FIPRESCI).
Dès 1995, il entreprend d'adapter la nouvelle de Juan Marsé, El Embrujo de Shangai et engage la préparation du tournage. Mais le producteur ne suit pas, et le projet est abandonné définitivement en mars 1999. Le scénario La promesa de Shangai est cependant édité en 2001.
En 2002, à la demande de Wim Wenders, à l'origine du projet, il tournera un épisode du film collectif Ten Minutes older : the Trumpet, qu'il intitule Alumbramiento.
En 2005, le Centre de Cultura Contemporània de Barcelona lui commande, dans le contexte de l'exposition : Erice / Kiarostami : correspondances, une série de lettres filmées entre le réalisateur iranien et lui-même. Cette série s'intitule Cartas a Abbas Kiarostami, et sera présentée à l'exposition de Barcelone, reprise en 2008 au Centre Georges Pompidou à Beaubourg (Paris) et finalement publiée dans le catalogue de l'exposition.
C'est dans le même contexte qu'il écrit et réalise avec de modestes moyens, à la demande d'Alain Bergala et de Jordi Ballo, commissaires de l'exposition de 2005 et 2008, le film La Morte rouge, où il évoque la première expérience de cinéma d'un enfant de 6 ans (lui-même) à San-Sebastian, dans l'Espagne déchirée et franquiste du début de la dictature (1946).
Simultanément, il réalise une installation - dans laquelle la lumière et le son jouent un rôle primordial - destinée aux musées, à partir de plusieurs tableaux d'Antonio López, sous le titre «Fragor del mundo, silencio de la pintura».
Depuis 2010, il travaille, de façon discontinue, sur une série documentaire intitulée Memoria y Sueño, évoquant les lieux de tournage des grands films de l'histoire du cinéma.
Au Festival de Cannes en 2010, il fait partie du jury présidé par Tim Burton qui remet la Palme d'or à Apichatpong Weerasethakul pour Lung Boonmee raluek chat.
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