La Llorrona : seuls les coupables l’entendent pleurer. Selon la légende, la Llorona est une pleureuse, un fantôme qui cherche ses enfants. Aujourd’hui, elle pleure ceux qui sont morts durant le génocide des indiens mayas. Le général, responsable du massacre mais acquitté, est hanté par une Llorona. Serait-ce Alma, la nouvelle domestique ? Est-elle venue punir celui que la justice n’a pas condamné ?
Pablo se sent coupable. Il a quitté sa femme pour vivre avec Francisco. Sa famille protestante évangélique va le forcer à reprendre son ancienne vie au moyen de la thérapie de conversion.
Sur les pentes d'un volcan (ixcanul, en cakchiquel), une plantation de café emploie des paysans pauvres et sans terre pour des salaires misérables. Le contremaître Ignacio est le seul à parler espagnol. Les autres paysans ne connaissent que le kaqchikel, une langue maya.
The documentary tracks a joint National Geographic Society/Guatemalan Ministry of Culture funded expedition to discover whether there are any grave sites buried beneath the ruins of Cancuén, a city-state in the Petén Basin (modern-day Guatemala). The city rose to prominence during the forty year reign of King Taj Chan Ahk, and it is believed to have developed into an ancient trading centre linking the American continents. It is speculated there could be several mass graves in the temple district.
This Guatemalan film tells a story of three middle-class teenagers on a high-octane ride to hell outside the safety of their colonia. They siphon gas from their neighbors cars and roam the streets, looking for any and every form of entertainment, but they soon learn that even the simplest actions can have consequences way beyond anything they imagined, and some lessons are learned too late.