Shirin Sar Poulaki est la fille unique d'un influent homme d'affaires du grand bazar de Téhéran, Hajji Ebrahim. Shirin mène la vie tranquille d'une jeune fille de la bonne société de Téhéran, mais son oncle Saïd s'entête auprès de son père pour l'engager dans son agence de voyage; elle se décide enfin à travailler pour se familiariser avec le monde du travail.
Haji, un jeune soldat de la guerre Iran-Irak est incapable de s'adapter à la vie civile après sa sortie de l'hôpital. Il devrait se marier avec sa fiancée qui lui avait été promise avant la guerre.
Un village aux portes du désert central iranien. L'école du village. Au fond de la cour de l’école, sous un arbre qui la maintient à l’ombre, une grande jarre de grès. Les enfants de l'école, qui viennent régulièrement boire à la jarre. Et puis, un jour, cette jarre commence à fuir. Le maître d'école se trouve alors confronté à un problème essentiel...
Quelques couples affrontent des problèmes similaires. Leur approche est complètement différente vis-à-vis de la situation, ainsi que leur réaction respective.
Dans la première scène du film, nous voyons Ferdowsi qui par la fenêtre de sa maison regarde tristement le pont ruiné de la ville de Tus. À la cour du sultan Mahmoud Ghaznavi, Ferdowsi récite certaines parties de Shah Nameh. La vieillesse du poète est la fin de son histoire et se passe dans l’isolement et l’amertume. De temps en temps, il entend par sa fenêtre les enfants chanter ses vers de Shah Nameh. La scène finale est celle de sa mort : deux hommes portent son cercueil, et derrière eux seule la fille du poète les suit, larmes à l’œil.
Un jeune couple dispute au sujet du traitement de leur fille handicapée, Sahar. Tordu par son faible revenu, le mari n’a pas d’espoir en guérison de sa fille. Au seuil de désespoir, un ami, metteur en scène, propose à l’homme de lui confier un rôle principal dans une pièce de théâtre.
Après des années de séjour aux États-Unis, un réalisateur de cinéma retourne au pays pour tourner son premier film. Un incident empêche l’acteur principal de se présenter au tournage, si bien qu'il s'en fait retirer. Il ne reste pas beaucoup de temps et il faut compléter le tournage pour que le film arrive à temps au festival des films. Le réalisateur décide alors de remplacer l’acteur principal par un vendeur de trottoir qui lui ressemble. En outre, l’actrice du film en proie à des problèmes de couple, envisage de quitter le tournage pour se rendre aux États-Unis.
Nasim, a poor Afghan refugee in Iran, gives a demonstration in his town's square where he rides his bicycle without stopping for seven days and seven nights, with the aim of raising money for life-saving surgery for his dying wife. In the end, even after seven days, he continues to pedal endlessly, too fatigued to hear his son's and the crowd's pleas to get off his bicycle. One scholar analyses the film as an allegory which parallels the exploitation that Afghan refugees suffer from in Iran and from which they are unable to escape.
Téhéran. Le destin tragique d'un vieillard, misérable et gravement malade, essayant d'être admis, avec l'aide de son fils, Ali, dans un des hôpitaux les plus modernes de la capitale. Aux portes de l'hôpital, un homme en voiture leur propose de gagner un peu d'argent. Il les conduit ensuite vers un camion rempli de clochards et de drogués donnant leur sang. L'homme qui se livre à cette opération touche une commission. Au cours d'une réunion du personnel de l'hôpital, un médecin dénonce le sang contaminé fourni à longueur d'année et qui provoque la mort des patients. Ali se livre, à présent, à un fructueux trafic. En même temps, son père décède suite à de pénibles souffrances.
Hamid Afshari, le secrétaire au palais de justice (Parviz Parastui), est à court d’argent pour acheter un ordinateur à son fils. Désespéré, il planifie d'enlever Farzan, le fils de Monsieur Zare, un riche parti qui avait un procès au tribunal. Pour cela, il prend pour complice Asghar, un gangster déjà condamné. Asghar enferme Farzan dans une villa en banlieue. Pour attraper les ravisseurs, Monsieur Zare feint un état d’urgence et se fait hospitalier. Hamid Afshari se précipite à l’hôpital pour s’informer de son état de santé. Roya, l’infirmière qui l'en informe (Fatemeh Motamed-Arya), semble très accueillante et serviable. La trouvant à son goût, Hamid se sent très rapidement épris d’elle.
Comme beaucoup d’Iraniens, Abbas Khakpour pense à partir en Amérique. Donc il entreprend un voyage à Istanbul en Turquie pour se rendre à l’ambassade américaine. Après plusieurs tentatives pour obtenir un visa sans succès, pour suivre le conseil d’un courtier iranien, il se déguise en femme (Dorna) pour obtenir son visa. C’est une démarche réussie.
Ghasem (Hamid Farokhnezhad) with his wife, Narges (Leila Hatami), his mother and other relatives and parents take a flight to Bandar Abbas, Iran, to get hired in an industrial company. Since the conditions of work and life are hardly satisfactory, everyone accepts the invitation with pleasure. Narges (Leila Hatami) is the only one who knows the true intention of her husband. Once the plane takes off and flies in the sky, Ghasem (Hamid Farokhnezhad) out a gun, disarms sole custody in the plane, the pilot goal threat of hacking and requires a change of destination to Dubai. At a time when the attacker and his accomplices are concerned about a conflict between them, the second security guard, loop the pirate by surprise maneuver him out of the gun. As the plane takes its way to the destination country, new pirates succeed, a maneuver conducted by Narges (Leila Hatami) to grab the gun and redirect the plane to Dubai. Shortage of fuel, the plane ends up crashing into the water in the middle of nowhere.