Une jeune artiste en herbe est attirée dans le monde sombre du voyeurisme, du sexe et du meurtre lorsqu'elle décide d'emménager dans un complexe d'art house. Maintenant, elle doit découvrir qui est le meurtrier, avant qu'il ne soit trop tard.
Jenni est une épouse frustrée qui n'arrive plus, quoi qu'elle fasse, à avoir une vie sexuelle avec son mari Damon. Avocat, il passe ses nuits à travailler dans son cabinet sur une importante affaire. Leur maison étant en cours de construction, tous deux se sont installés chez Gerard, dont la femme Simone, qui se sent aussi délaissée, a une aventure avec son coach sportif personnel Stan. La domestique Brandy persuade chaque femme de tuer le mari de l'autre afin de pouvoir enfin vivre pleinement et hériter des œuvres d'art que chacun possède. Ce complot est l'occasion pour Jenni et Simone de se rapprocher.
Ana couche avec Hugo, Dalhia avec Graciano, Léo avec Louis et Arthur avec tout le monde. Entre fêtes et amours surgissent les remises en question, les désirs profonds et l’urgence de vivre.
Le film commence en 1922 dans la région de Londres, au Royaume-Uni. Vita Sackville-West est une écrivaine britannique à succès et une femme émancipée qui fume, conduit, signe ses livres de son vrai nom et vit une relation ouverte avec son mari, le diplomate Harold Nicolson, lui-même discrètement bisexuel. Vita vient de lire Mr Dalloway, le dernier livre de Virginia Woolf, écrivaine qu'elle admire et souhaite rencontrer. Mais Vita est issue de l'aristocratie conservatrice, et tant sa mère que son mari se montrent méfiants vis-à-vis de Woolf, qui passe pour folle et fait partie d'un groupe d'écrivains socialistes à la réputation de bohêmes, le Bloomsbury Group, dont les œuvres n'ont à ce moment qu'une diffusion confidentielle. Vita est bisexuelle et, dans sa jeunesse, elle a frisé le scandale en s'enfuyant avec une de ses amoureuses, Violet Keppel. Sa mère, qui a étouffé l'affaire, intervient pour empêcher la parution de son futur livre et lui défend de rencontrer le Bloomsbury Group. Vita finit par se rendre à l'une de leurs soirées et rencontre Virginia : c'est un coup de foudre, non réciproque. Déterminée à mieux connaître Virginia Woolf, Vita entame avec elle une correspondance vivace et soutenue, dont le film utilise de nombreux extraits. Elle s'intéresse à la maison d'édition fondée par Virginia Woolf et son mari Leonard Woolf, Hogarth Press. Vita va jusqu'à lui soumettre et lui dédicacer son prochain livre, Seducers in Ecuador, ainsi que les suivants, qui sont des succès et améliorent les finances de la maison. Elle lie connaissance avec la sœur de Virginia, Vanessa Bell, qui est peintre et dont le mari, Clive Bell, est également peintre.
Pendant la Première Guerre mondiale, un soldat français déserte et, pour éviter d'être repris et renvoyé au front, se fait passer pour une femme avec l'aide de son épouse.
En 1969, au sein d'une école pour fille en Angleterre, aux usages très stricts, Abbie et Lydia sont amies. Une épidémie d'évanouissement éclate et menace la stabilité de tous les collégiens.
Dans un village du début du XXe siècle, un peintre à la commande inhabituelle trouve deux jolies filles pour lui servir de modèle. Les filles atteignent lentement l'âge adulte tout en explorant leur sexualité et en trouvant la libération dans une société réprimée.
Le film parle d'une seule et même femme, à quatre âges de sa vie. La petite Kiki passe son enfance à la campagne. Son existence est bouleversée par une tragique partie de cache-cache. Quelques années plus tard, l'adolescente, baptisée Karine, multiplie les fugues et les rencontres amoureuses pour échapper au foyer familial. À 20 ans, jeune provinciale devenue Sandra, elle monte à Paris et tombe dans le trafic d'argent. Les années passent, elle se fait appeler Renée et pense désormais être une femme accomplie, débarrassée de son passé…