The film revolves around the making of the Vogue September 2007 issue. (The September Vogue is traditionally the biggest, most important issue of the year.) It depicts the effort that goes into making the magazine, and the passion that Grace Coddington, a former model turned creative director and the only person who dares to stand up to Anna Wintour, has for the highly regarded fashion magazine. In the film, Coddington is often portrayed as the leading victim to Wintour's aggressive personality. The relationship between Wintour and Coddington reveals itself to be symbiotic, as Wintour recognizes Coddington's expertise and keen eye for design. In the end, Wintour approves most of Coddington's ideas and they appear in the final version of the September issue.
The 1989 WANK worm attack on NASA computers, originally thought to threaten the Galileo spacecraft, is depicted as the work of Australian hackers, including Assange. The founding of Wikileaks in 2006 is followed by coverage of several key events: its 2009–2010 leaks about the Icelandic financial collapse, Swiss banking tax evasion, Kenyan government corruption, toxic-waste dumping, Chelsea (formerly Bradley) Manning's communications with Adrian Lamo, uploads to Wikileaks of the Iraq and Afghanistan war documents, diplomatic cables, and video, exposure to the FBI by Lamo, and the accusations of sexual assault made against Assange. Interview subjects include Julian Assange, Chelsea Manning, Heather Brooke, James Ball, Donald Bostom, Nick Davies, Mark Davis, Jason Edwards, Timothy Douglas Webster, Michael Hayden, Adrian Lamo, J. William Leonard, Gavin MacFadyen, Smári McCarthy, Iain Overton, Kevin Poulsen and Vaughan Smith.
Pierre Carles se demande pourquoi personne ne parle jamais du fait que la concession de la première chaîne de télévision à TF1/Bouygues a été renouvelée automatiquement depuis 1987 par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, avec la complaisance de la classe politique. Pour ce faire, il prend sa caméra et son micro et entreprend d'aller interviewer des personnalités de la télévision française. Il comprend vite que la méthode qui avait fonctionné dans Pas vu pas pris ne marche plus. Il finit par s'interroger sur sa propre démarche et sur la critique des médias en général.
Les médias modernes aiment à se proclamer « contre-pouvoir », et se vanter de leur « indépendance », se constituant en rempart de la liberté de parole et de pensée. Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir économique et politique. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations pré-mâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.
Le 6 juin 1994, une conversation privée de 8 minutes entre François Léotard (ministre de la Défense) et Étienne Mougeotte (directeur des programmes de TF1) est enregistrée avant une retransmission en direct d'un journal de télévision. Cette conversation montre clairement leur amicale complicité. La transmission de cette vidéo – jamais diffusée par TF1 – est piratée. Cette vidéo est alors revendue illégalement et Le Canard enchaîné et Entrevue en publient des extraits.
La sociologie est un sport de combat montre comment Pierre Bourdieu travaille, « la pensée en action » et de quoi est fait le quotidien d'un sociologue. À ce jour, l'œuvre n'a jamais été diffusée à la télévision française.
Comment s’exerce la démocratie quand un ministre en fonction, secrétaire général d’un parti politique de première importance, brigue la mairie d’une grande ville de province ? Comment les médias locaux traitent-ils l’illustre parachuté ? Que devient le beau principe de l’égalité de traitement entre les candidats ?Juppé, forcément... décortique une campagne électorale à travers le regard des journalistes et montre à quel point la politique, comme le reste, fonctionne à deux vitesses, « selon que l’on soit puissant ou misérable... »
Yves Jeuland suit, sur le terrain et à la rédaction, des journalistes du service politique du quotidien Le Monde, pendant cinq mois de la campagne présidentielle de 2012.
Ce film détaille le parcours de Pierre Carles et de son équipe qui vont interroger divers acteurs médiatiques sur le non-traitement médiatique du passage en France du président équatorien Rafael Correa. En effet celui-ci appliquait depuis 2007 des solutions innovantes afin de juguler la crise économique dans son pays. Solutions qui selon les auteurs de ce film auraient méritées des analyses et comparaison avec celles mises en place en France.