Lesser known parts of India are explored as a five fellow bike riders from the 60KPH club set out on an expedition across the less travelled Indian north eastern state of Arunachal Pradesh to chart a route that supposedly does not exist. The bikers chronicle their attempt to travel from Tawang in west Arunachal to Dong in the east without entering the state of Assam.
Le cinéaste Roman Polanski, passionné de sport automobile, s'est lié d'amitié avec le pilote automobile écossais Jackie Stewart, champion du monde de Formule 1 en 1969 et, en route pour son second titre. Il obtient l'autorisation de suivre le champion pendant un week-end de Grand Prix. Lors du Grand Prix de Monaco 1971, que Stewart va d'ailleurs remporter, la caméra du cinéaste se glisse dans l'intimité du champion alors au faîte de sa gloire, tant sur le circuit qu'en dehors, aux côtés de son épouse Helen.
Asiemut chronicles the 8000 km journey of Olivier Higgins and Mélanie Carrier. Riding their bicycles and pedaling through Asia, Olivier and Mélanie traveled from Mongolia to Kolkata, at the mouth of the Ganges in India, passing through Xinjiang, the Taklamakan Desert, Tibet and Nepal. Along the way, they discover the world, but over all, they discover themselves. Who are they? What do they want? What is their place in this world? Maybe, between the encounters, obstacles and the discovery, this daring journey made them reflect... Do we not all have a common "Asiemut"?
En 1956, le Docteur Paskowitz avait tout réussi : médecin renommé, sportif accompli, il faisait même ses débuts dans la politique locale à Hawaï. Bref, c'était le parfait exemple du rêve américain. Ou du moins le croyait-il, jusqu'à LA révélation...
Le documentaire suit trois champions encore en activité au moment du tournage, l'Éthiopien Haile Gebreselassie, l'Allemande Heike Drechsler et le Marocain Hicham El Guerrouj. Ils commentent leurs performances, leur passion de leur discipline et de leur pays.
Le film démarre par une séance de traversées marines en solo sur le site de la Piade près de Toulon. Dans la seconde partie, Patrick Edlinger s'entraîne à Buoux avant de gravir en solo plusieurs longueurs de ce site d'escalade devenu célèbre. Alors que le montage semble laisser penser qu’il s’agit d’une longue voie extrêmement difficile, ce sont en réalité plusieurs ascensions mises bout-à-bout, Edlinger évitant volontairement des prises pour renforcer l’aspect spectaculaire de ses mouvements. Edlinger grimpe sur la dalle du Golot Fou (voie cotée 6b), le toit de DSF (Dingue Stress Flippe, cotée 6b+), le toit de La Béda (cotée 6a+), et enfin la dernière longueur du Pilier des Fourmis (côtée 7a) à la fin du film.
Le film Olympia 52 peut être considéré comme un documentaire. il s'agit d'une commande de la Direction Générale de la Jeunesse et des Sports. Le film de Chris Marker s'attache à montrer ce que le public présent dans les tribunes peut voir du déroulement des épreuves olympiques. On y retrouve donc les images des compétitions mais aussi des scènes de préparation des athlètes. Cela donne un rythme particulier au film avec une alternance de "temps forts" et de "temps faibles". On peut également observer de nombreux plans de coupes montrant le public dans les tribunes. Ce dernier point est né d'une contrainte imposée par le comité olympique pour le tournage des films amateurs depuis les gradins. Chris Marker en a fait un parti pris qui donne au film une autre vision du sport plus centrée sur ceux qui le regardent que ceux qui le pratiquent.